2e édition du Festival AGALOH de DIDOKO: Pari réussi pour Hilaire GUEBY et son équipe
Le rideau est tombé sur la 2e édition du festival AGALOH de DIDOKO le vendredi 10 Novembre 2023 dans la sous-préfecture de DIDOKO, département de Divo. Jeunes, filles et chefs de villages des 10 villages qui composent la sous-préfecture, se sont donné rendez-vous les 9 et 10 novembre pour non seulement célébrer la culture Dida, mais aussi parler de développement.
Au menu de ces deux jours de rendez-vous culturel, chants et danses traditionnelles, formation en entrepreneuriat, concours de beauté. Cette édition s’est déroulée autour du thème : »Politique de développement et culture rurale, la place de la femme dans la sous-préfecture de DIDOKO ».
Ce fut une occasion pour la présidente de Nouvel ivoirien Côte d’Ivoire Nouvelle (NICIN), Marie Carine Bladi, d’encourager ses mamans et jeunes soeurs au travail. Ce qui leur permettrait de subvenir aux besoins et charges familiaux. La Présidente de NICIN reste convaincue que dans la quête du développement, la femme aura un grand rôle à jouer.
»Près de la moitié de la population ivoirienne est composée de femmes. Ce sont elles qui donnent à notre agriculture sa force, qui approvisionnent nos marchés, qui nourrissent nos populations », a-t-elle affirmé.
Marie Carine Bladi s’est réjouie du choix du thème de cette seconde édition: « Politique de développement et culture rurale : la place de la femme dans la sous-préfecture de Didoko ».
Pour elle, le développement ne peut se faire sans la promotion de »nos cultures, sans la connaissance de nos us et coutumes en vue d’en tirer la sève nourricière et la force constructive ».
À l’en croire, c’est ce que souhaite le NICIN pour les populations de Didoko. »Peuple du Loh-Djiboua, réjouissons nous, chantons et dansons, car demain sera meilleur ! ». Mme le sous-préfet de Zego, Gnahoua Marie-France, assurant l’intérim de celui de DIDOKO, Pitou Joël, a salué l’initiative des organisateurs.
Elle a invité les populations à multiplier ce genre d’initiatives qui renforcent la cohésion sociale. Félicité Napla Epse Boza, marraine de la plus belle femme, a encouragé les jeunes filles à apprendre beaucoup auprès de leurs mères.
Mieux, à savoir poser les pas dans la société. Car, selon elle, tous pas posés, déterminent l’avenir. Hilaire GUEBY, commissaire général du Festival, a expliqué que ce festival se veut un cadre de loisirs et d’egaiement des parents.
Il vise également a être le havre de rencontres fraternelles et instructives entre les filles et fls de Didoko dans toutes leurs composantes en vue d’une union sincère et utile entre ses filles et fils.
C’est dire combien ce festival vise à réunir les parents et enfants autour d’un ideal commun et d’un modele économique de développement pour un type et une qualité de vie des plus reluisante pour tous et le réveil de la localité. Hilaire GUEBY a invité les cadres à s’approprier l’initiative pour le bien-être de la population.