Côte d’Ivoire : Les résultats du projet SNVLT 2 présentés aux parties prenantes lors d’un atelier
Le secrétariat technique permanent de l’Accord de Partenariat Volontaire – FLEGT a organisé, le jeudi 28 mars 2024 à Abidjan, l’atelier de restitution des résultats de la deuxième phase du projet Système national de vérification de la légalité et de la traçabilité du bois (SNVLT 2) portant sur le développement des modules complémentaires et de son opérationnalisation en Côte d’Ivoire.
L’objectif de l’atelier placé sous la présidence de Djaa Koffi Antoine, directeur de cabinet adjoint, représentant le ministre des Eaux et Forêts, Laurent Tchagba, étant de faire connaître les résultats de la mise en œuvre du projet à l’ensemble des parties prenantes et de dégager les perspectives.
Notons que, le SNVLT s’inscrit dans le cadre de la préparation à la mise en œuvre de l’Accord de Partenariat Volontaire relatif à l’application des Règlementations forestières, la Gouvernance et le Commerce du bois et des produits dérivés (APV-FLEGT).
Tour à tour, le lieutenant-colonel Sylla Cheick Tidiane, directeur de la Production et de l’Industrie forestière, par ailleurs point focal de l’APV-FLEGT ; le commandant Kouadio Damo Edmond et des experts, ont :
· présenter de façon globale le Système de vérification de la légalité (SVL) tel que prévu par l’Accord de Partenariat Volontaire FLEGT signé, le 19 février 2024 à Bruxelles ;
· présenter les activités menées et les résultats obtenus lors du projet SNVLT 2 ;
· présenter la version 2024 du SNVLT à l’issue des développements complémentaires.
Les échanges qui ont suivi les présentations, ont permis de répondre aux préoccupations et de recueillir les avis des participants pour les prochaines étapes.
Cette version du SNVLT, selon le ministère des Eaux et Forêts, a été développée sous la supervision d’un groupe de travail co-présidé par le directeur général des Forêts et de la Faune, colonel major Kouassi Lucien et celui de la SODEFOR, colonel major Sangaré Mamadou, grâce à l’appui financier de l’Union Européenne à travers l’Institut Européen de la Forêt (EFI).