Le DGA de la Loterie nationale de Côte d’Ivoire (LONACI), Karim Ouattara, cadre très actif du parti au pouvoir le RHDP, au cœur généreux sur le terrain, incompris par moments par certains militants, tient à expliquer sa véritable mission au sein du Rassemblement des Houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP).
Dans un post sur son compte Méta consulté par le méridien ce mardi 31 décembre 2024, dans lequel il remercie le quotidien RHDP News qui a mentionné à sa Une avec les portraits en illustration des cadres du parti qui rament dans la vision « Côte d’Ivoire Solidaire » du Chef de l’État, Alassane Ouattara, le DGA de la LONACI a redéfini sa mission véritable au RHDP.
« Merci à RHDP News pour la lucarne. La répétition étant pédagogique, Il va falloir expliquer à nouveau, qu’en qualité de Secrétaire National en Charge du Monde Associatif et de la Société Civile au sein du RHDP, ma mission principale est de promouvoir le capital sympathie du parti. C’est à dire attirer les non-militants vers le parti pour en faire des militants », a-t-il indiqué.
Une fois devenu militant, c’est à dire régulièrement inscrit dans un comité de base du parti, le nouveau militant est pris en charge par d’autres ressources au sein du parti qui s’occupent de son onboarding selon sa catégorie socioprofessionnelle (jeune, femme, enseignant, élu etc), ce qui n’est ni mon rôle, ni ma mission dans le parti, a ajouté le jeune cadre du RHDP (45 ans), citant en exemple, Lass PR qui est en charge de la Propagande et qui, selon lui, assure avec « brio » sa mission.
« Je peux aider certains militants de façon solidaire, mais… «
« Nous sommes un parti organisé et réorganisé à l’image d’une équipe où chaque joueur à son rôle. Les attaquants marquent des buts, les défenseurs empêchent d’encaisser. Un joueur ne peut occuper la place de 11 sur le terrain », a-t-il poursuivi avec cette métaphore très expressive.
« Je peux aider certains militants de façon solidaire, ce que je fais depuis plusieurs années sans interruption quoique cela ne soit pas ma mission principale, mais seul je ne peux aider tout le monde. Même si j’ai la volonté, je n’ai pas la capacité. Mon activisme dans les localités non acquises et envers des non militants, parfois tagué de « Tôgô-gnini » par certains militants insuffisamment informés, n’est autre que l’exécution de ma feuille de route. Le jour où le parti me confie une autre mission, je m’y consacrerai et je me donnerai les moyens d’atteindre les objectifs assignés », a-t-il soutenu.
DNG