Affaire « corruption et blanchiment d’argent » impliquant le PDG de Porteo BTP: Le silence troublant des ministres impliqués

Le lundi 23 décembre dernier, le média français Africa intelligence a produit un article truffé de contre-vérités à l’encontre de personnalités politiques ivoiriennes dont le ministre d’État Tené Birahima de la Défense et Amédée Kouakou de l’Équipement et de l’Entretien routier, en relation avec le PDG de Porteo BTP, à l’effet de les incriminer sur des faits non justifiés de corruption et de blanchiment d’argent. 

Alors même que l’affaire est pendante devant la justice française. Et surtout sans même produire des documents avérés ni de preuves de corruption, l’article télécommandé s’est basé sur deux faits anodins de services rendus par le PDG de Porteo BTP à ces ministres, pour justifier les accusations de corruption et de blanchiment d’argent. 

Le premier est le fait que le ministre de la Défense aurait, selon les allégations du journal, emprunté le jet privé de l’homme d’affaires lors de voyages personnels, et le second concerne le fils du Ministre Amédée Kouakou, logé dans l’un des appartements de l’homme d’affaires. 

Le hic dans cette affaire, c’est qu’aucune autorité n’a daigné répondre à ces écrits qui sont tous aussi grotesques qu’attentatoires à l’honorabilité du PDG de Porteo BTP qui devient ainsi la cible de lobbies franco-libanais qui ont horreur de l’émulation et de l’émergence de nouveaux talents dans des secteurs autrefois reservés à une catégorie d’entre eux. 

Ivoirien d’origine libanaise et premier responsable d’une entreprise d’envergure internationale comme Porteo, il est possible que cela dérange certaines personnes tapies dans l’ombre. Sinon, comment expliquer cet acharnement? 

Selon nos sources, l’homme d’affaires se dit prêt à faire le grand déballage sur cette affaire qu’il n’entend pas laisser prospérer, afin de rehausser son image de marque construite grâce à son sérieux dans le travail. 

Junior Ouattara