Bloomfield Group/9e édition Conférence risque pays Côte d’Ivoire: Plus de 500 participants attendus le 16 avril à Abidjan
La neuvième édition de la conférence débat risque pays de la Côte d’Ivoire se tiendra le mercredi 16 avril 2025 à Abidjan où 500 participants en présentiel sont attendus et près de 3000 en distanciel, ont annoncé les organisateurs ce lundi 7 avril 2025 autour d’une conférence de presse au siège de Bloomfield Group à Cocody (Est-Abidjan).
« Cet événement économique majeur est très attendu en Côte d’Ivoire chaque année. Pour cette édition 2025 ce sont 500 personnes en présentiel qui sont attendues au Sofitel Hotel ivoirie à Abidjan et près de 3000 en distanciel », a confié à la presse M. Stanislas Zézé, le PDG du Bloomfield Group, donnant rendez-vous aux participants le 16 avril dès 8 heure à l’Hotel Ivoirie .
À l’en croire, cet événement sera fortement relayé à travers le monde entier, aux partenaires au développement, à tous ceux qui s’intéressent à la Côte d’Ivoire, notamment les investisseurs et aux Ivoiriens eux mêmes pour leur permettre de mieux connaître leur pays sur le plan économique et sociale et sur les activités du gouvernement.
Cette une conférence que Bloomfield organise depuis 9 ans établit la cartographie de risques d’investissement dans les pays africains. Elle permet de créer une plateforme de discussions constructives entre le secteur public et le secteur privé pour bien établir les problématiques de chaque pays et apporter des solutions, a expliqué M. Stanislas Zézé.
En ce concerne cette édition qui porte sur la Côte d’Ivoire, les organisateurs présenteront un rapport détaillé sur la cartographie de risques d’investissement en Côte d’Ivoire assorti d’une note. Il faut rappeler que l’année dernière, la Côte d’Ivoire était dans la catégorie de « Risque faible ».
Les évaluations se font sur cinq paramètres qui sont, notamment l’environnement sociopolitique et sécuritaire, l’environnement des affaires, la performance macro-économique, la gestion des finances publiques et le financement de l’économie, c’est-à-dire le système financier de la Côte d’Ivoire, a-t-il poursuivi.